Alors je chemine, cheveux au vent, par les contrées connues
et pourtant encore inconnues
les montagnes se dessinent dans un ciel purement bleu
les pies volent au-dessus de ma tête portant dans leur bec
les branches nécessaires à la construction de leur nid
Saturne s’infiltre de temps à autre
Je lui ferme la porte mais, malin comme il est,
il passe par la fenêtre ouverte, voire se faufile sous la porte
Quel coquin !